Redaction de francais

Les protagonistes se retrouvent au centre de la terre et découvre des ossementsd'animaux.

-Quoi, mais les ossements ne sont pas arrivaient la tout seul.

-J'en déduis qu'on ne doit pas être seul et que nous somme peut être le nouveau repas de la créature qui a enlevait la chaire de ces os.

Un crie retentit ou plutôt un rugissement. Effrayer nous ne dirent plus un mot. Suite à se rugissement le sol se mit à trembler de plus en plus fort en même tant que se rapprochait une étrange silhouette au loin. Alors tous nous nous cachèrent la où nous pouvions tout en essayant de taire nos souffle haletant. Puis les tremblement s'arrêtèrent pour laisser place à un souffle chaud, le souffle chaud d'une haleine fétide. A cette instant je tournai la tête et je découvrait une bête de près de quarante pieds aux griffes saillantes et à la bouche serti de dents acérées. Elle baissa les yeux et nous vit et rugit. Pris de terreur devant cette bête titanesque nous détalèrent vers une cachette plus sur en laissant derrière nous sac et matériel d'archéologie. Le monstre nous suivit et nous furent vite rattrapés. Puis nous vîmes une grotte. Nous réussir a rentrer dans la grotte, mais le monstre trop grand pour rentrer se fracassa la tête contre le plafond de la grotte qui s'effondra sur lui la bête poussa un crie, son dernier crie.

Les protagoniste se retrouve coincer devant une très grande étendu d'eau.

Un jour alors que nous n'étions plus que Hans, mon oncle et moi. Nous décidâmes de partir à la mer sur un radeau; Nous naviguions tranquillement et le vent soufflait légèrement. Puis nous remarquâmes que le vent soufflait de plus en plus fort de même pour les vagues qui jusque là étaient plates. La pluie tomba et le cauchemar commença.

Les vagues volaient de tout nous étions trempés. Nous nous battîmes contre l'orage, si violent que le radeau se détachait peu à peu. A chaque pas nous risquions de tomber, de glisser, de trébucher pu de nous bousculer. A chaque vague nous buvions la tasse. La voile se déchirait, les boutes se détachaient, c'était l'anarchie total, le chaos. Et s'est la que nous constatâmes à quel point nous étions dans le néant. Une vague titanesque apparue telle a un tsunami, à un rat de marré.

La vague s'abattit sur nous et le radeau ne résistâmes point. Nous furent expulsé à trois points très distant. Incapable de choisir notre direction, nous nous laissions dériver chacun de notre côté, essayant tant bien que mal de ne pas se noyer.

Le Roi à ordonné la mise a mort de renard si celui-ci venait a être capturé. Renard cherche donc a passer inaperçu quand sans faire exprès il tombe dans une cuve de teinture jaune. A peine remis il tombe sur Ysengrin son rivale et se fait passer pour un voyageur. Encore une fois il use de sa ruse est enferme Ysengrin dans la maison d'un paysan et vole la vielle du paysan.

A l'écart de la maison du paysan Renard fuyait, tout en se félicitant d'avoir encore une fois roulé son rivale.

-"A mais quel idiot ce loup m'avoir confondu avec un voyageur et puis quelle chance d'être tombé dans cette cuve. Je n'aurai guère trouver meilleur travestissement.

-Que dites vous cher voyageur, dit le paysan suivi de son chien qui avait retrouvé la piste de renard.

-No, neine, non je disais que je aurai non trouvé guide aussi bonne et quel idiol avec une "l" une foi c'est un mot Russe non Allemand ou Anglais oui Anglais c'est ça sa veut dire gentil une fois.

-Et qu'est ce que c'est que c'est que ça?

-Euh... si le votre je l'emmenai chez la luthier une fois en faisant un très grande détours une fois.

-Vous ne deviez pas aller chez le Roi?

-Si mais AAAAAAHHH!!!!"

Renard reculant trébucha et tomba  dans l'eau du faussé. En se relevant Renard ne s'aperçoit pas qu'il a perdu sa teinture et oublie de reprendre son accent.

-"Ah quel aventure on ne m'y reprendra plus.

-Mais où est passe votre pelage jaune? Mais attendez car si ma mémoire ne me joue pas un tour vous êtes Renard et je me ferai une joie de vous menez à mon roi non pas pour lui joué un mélodie mais plus pour qu'il vous passe une corde autour du cou".

Renard se fit rosser par le paysan et son chien puis menez au Roi.

"Anduril l'épée brisée brille de nouveau" crièrent les soldats en voyant l'épée ensanglantée, s'élever pour s'abattre sur son assaillant. Les orques avançaient mais les soldats n'abandonnaient pas car tant qu'Aragon et Anduril ne s'effondraient pas une étincelle briller dans leurs yeux, l'étincelle de l'espoir  et chaque cou qu'il encaissaient il le renvoyaient. Ainsi pendant des heures il luttèrent. Et Aragon le coeur gonflé de vaillance, s'enfonça dans la marée d'ennemis suivis d'Eomer, tout en évitant les lames saillantes et aiguisées. Alors dans un tourbillon sanglant gisaient les corps inertes et les têtes encore grimaçantes de terreur. Soudain un grondement fracassant retentit et du haut de la montagne resplendit une lueur blanche d'où surgit Gandalf sous une nuée de flèches, suivis des renforts tant attendus.

Alors regonflés d'espoir, c'est tous ensemble qu'ils repoussèrent l'ennemi jusqu'à la victoire.

Lancelot était un chevalier de la table ronde réputé pour son courage et sa vaillance. Il était grand, fort et beau. Du haut de son cheval, il était resplendissant  et lorsque le soleil faisait étinceler son haubert on aurait dit un ange descendant du ciel. Il était brun et son sourire charmant. Son armure était magnifique, elle réunissait le bleu de l'azur, la clarté de l'argent et la beauté de l'or. Mais sous cette armure se cachaient de longues et puissantes jambes, de longs bras musclés, des épaules carrés et une large poitrine.